L'histoire de la demoiselle est au choix, c'est important pour moi que ce soit avant tout VOTRE personnage. ≈ Elle a un caractère assez spécial, assez difficile à décrire. Elle arrive à être à la fois femme fatale et enfant. ≈ Elle aurait subit, comme Gabriel, des moqueries lorsqu'elle était jeune. Parce qu'elle était rousse, elle était censée être différente et donc, mise à l'écart.
GABRIEL GRANT + RELATION à PROBLÈMES.
- Citation :
BIBLIOTHÈQUE, 4 JANVIER 2014. "Si mon heure est venue, elle n’est pas à venir ; Si elle n’est pas à venir, elle est venue. Si mon heure n’est pas venue, elle viendra plus tard, inévitable. Le tout est d’être prêt." Ses yeux suivaient ses paroles. Ses paroles suivaient ses yeux.
"Hamlet." Gabriel leva ses yeux, sans même bouger sa tête. Une demoiselle, aux cheveux de feu et au teint de porcelaine, s'était assise devant lui, ouvrant délicatement les pages d'un livre. L'ignorant, Gaby reprit silencieusement sa lecture. La jeune femme ferma bruyamment son livre, et posa ses avants-bras sur la table, s'approchant un peu plus du brun.
"Vous lisez souvent à voix haute en plein milieu d'un endroit public?" Gaby bougea ses doigts nerveusement.
"Je n'lisais pas à voix haute." La demoiselle fronça les sourcils, le fixant.
"Bien sûr que si." Le brun ferma soudainement le livre et posa à son tour ses bras sur la table, tout en continuant de bouger ses doigts. Son regard sombre s'était posé sur le visage de la jeune femme.
"Et même si j'avais lu à voix haute..." "Vous l'avez fait." L'homme se redresse sur sa chaise et, tout en ponctuant ses mots avec sa gestuelle, répondit calmement.
"Admettons. Pourquoi m'avez-vous interrompus?" La rousse posa son menton dans le creux de sa main et sourit.
"Parce que c'est effrayant." Un sourire ironique brise la dureté du visage de Gabriel.
"Vous aussi." Visiblement vexée, la demoiselle se plonge dans sa chaise et croise les jambes, sourcils toujours froncés, se forçant tant bien que mal à garder un regard dur, bien que la conversation invraisemblable qu'elle tenait avec cet homme, lui donnait une forte envie de rire.
"Qu'est-ce qui vous effraie chez moi?" Gaby s'avance de nouveau sur la table, plisse les yeux et examine minutieusement le visage de la belle, alors que cette dernière, intriguée, l'observe du coin de l’œil.
"Vos cheveux." "Vos yeux." répondit-elle, sans même réfléchir.
"Vos taches de rousseur." "Votre nœud papillon." Plus les répliques s’enchaînaient, plus la jeune femme s'approchait.
"Votre robe." "Votre menton." Effrayé par le rapprochement s'effectuant entre eux deux, et visiblement vexé par sa réplique, Gabriel se redressa soudainement et un air indigné et surpris s'accrocha à son visage.
"Mon menton?! Vraiment." Elle haussa à la fois ses épaules et ses sourcils, résignée.
"Votre normalité. Je n'aime pas les gens normaux. Ils ne sont pas intéressants. " "Je ne suis pas normale." Leurs regards se croisent, un sourire semble se dessiner sur les lèvres du brun. Mais il était encore impossible de déceler la nature de ce sourire.
"Ça tombe bien, il paraît que moi non plus." Elle tend alors sa main vers son interlocuteur, l'air sûr et fier.
"Fauve." Gabriel baissa un regard méfiant sur la main de la jeune femme.
"Vous m'en direz tant... Gabriel." finit-il par avouer, attrapant et serrant la main blanche et délicate de son inconnue Fauve.
Leur rencontre s'est fait naturellement. Demandez à Fauve pourquoi elle s'est dirigée vers cet homme, demandez-lui pourquoi elle lui a adressé la parole et pourquoi elle a continué à lui parler malgré ses réactions, elle vous répondra qu'elle n'en sait rien. Elle s'est comportée comme si elle le connaissait depuis des années, et ce, dès le début. Sa nervosité l'amusait, et l'amuse encore. Plus il s'énerve contre elle, plus elle rit. Leur relation n'est pas définie. Demandez à l'un ce que représente l'autre, il ne saura quoi vous répondre. Ils ne sont pas amis, ils ne sont pas ennemis, ils se plaisent physiquement mais ils ne se sont jamais touchés au-delà du raisonnable. Ils passent leur temps à se chamailler, à se moquer l'un de l'autre, voir même du physique de l'autre. Mais ils font seulement ça pour se convaincre qu'ils ne s'attirent pas. Tout n'est que mensonge. Et malgré les piques qu'ils se lancent, malgré le fait que Fauve ne fait que répéter que Gabriel n'est pas son genre, dès qu'elle l'aperçoit, elle enlève sa bague de fiançailles. Gabriel ne sait donc rien de sa situation. Un feeling passe entre eux, et les personnes extérieures leur répète que cela se voit comme un nez au milieu de la figure. Au fond d'eux, ils le savent mais le nient tellement fort que les doutes se confirment.
- Information Supplémentaire:
J'aime tout le monde, mais j'aimerais encore plus la personne qui prendra ce scénario
Tout c'que j'ai à dire, xoxo.
ps: pour les questions, les réclamations, tout ça, ma boîte à mp est totalement ouverte, le jour comme la nuit.